Je comprends ta fascination pour les Matisse des Stein...
Ils ont acquis les tableaux d’Henri Matisse quand il devient Matisse c’est-à-dire la période qui va de 1905 à 1909.
Matisse sort du pointillisme (comment a-t-il pu y entrer ?) et devient tachiste, coloriste, peintre décorateur, enjôleur ou enjoliveur !
Sa peinture frappe un grand coup dans une forme d’endormissement que connaît la peinture après les Impressionismes et auquel Picasso lui-même n’échappe pas pendant ses si fameuses périodes rose et bleu.
Ce choc émotionnel de la peinture « fauve » est moins frappant dans La femme au chapeau de 1905 que dans le Nu bleu (souvenir de Biskra) de 1907.
Mais il est éclatant dans toutes les petites toiles de l’année 1906 présentées à la queue-leu-leu au Grand Palais : Fleurs, Marguerite lisant, La japonaise au bord de l’eau, Femme nue allongée, Nu dans la forêt, Nu dans un paysage, Marine La Moulade, Bord de mer, paysage de genêts, paysage de Collioure, Esquisse pour le bonheur de vivre, Nu assis, Marguerite…
Matisse extrait du passé proche tous les extrêmes et les synthétise dans une forme sublimée. Comme dit Picasso à propos du Nu bleu : « est-ce une femme ou de la décoration ? »
Mais la formule est insuffisante pour comprendre toutes les innovations que Matisse introduit dans la peinture que ce soit dans l’utilisation de la couleur vive et sans rapport avec la figuration colorée héritée de l’impressionnisme, dans l’utilisation des aplats à la Gauguin mais avec un niveau d’abstraction jamais atteint jusqu’alors ou dans les formes qui échappent à tous les codes picturaux du passé.
C’est une période d’expérimentation pour Matisse et il explore tout un champ nouveau de la peinture qu’il fait exploser comme de la dynamite pour reprendre une expression de Derain.
D’une certaine façon l’impression n’est pas seulement liée à la lumière mais à la forme elle-même ce qui explique la formule de Picasso.
Le peintre pousse la couleur à fond dans Paysage d’automne, la forêt de Fontainebleau, Bronze aux œillets ou Paysage de Collioure (1907). Il inverse, renverse, traverse, les couleurs, le tracé, l’espace.
Et à un siècle de distance, je l’aiderais bien un peu à renverser les titres, à inverser les mots, à traverser le temps comme pour « Nature bleue à la cruche morte » ( Nature morte à la cruche bleue, 1907).
Nous sommes déjà en ce début de siècle dans l’âge surréaliste. Matisse touche à tout ce qui va être démultiplié ensuite. Sauvage, « Fauve », sans équivoque il veut aller plus loin.
N’est-ce pas dans cette peinture fauve que Paul Eluard trouvera sa poésie : « la terre est bleue comme une orange »…
Mauresk
Grand Palais, Matisse, Cézanne, Picasso dans la collection Stein.
mercredi 26 octobre 2011
mardi 25 octobre 2011
"la somme des hypothèses" dit Léa
« La somme des hypothèses » dit Léa.
De loin, une tache claire illuminée par le soleil. Derrière, l’arc de triomphe du Carrousel, le Pavillon de Flore, à gauche la Pyramide du Louvre. Du jardin des Tuileries, on dirait le Soleil qui se serait posé par terre.
Un rappel du roi du même nom ? Ou un flocon de neige, une rose des vents ou des sables, un grain de poussière…Géant, le virus du Sida.
Et pourtant, tout ça n’est fait qu’avec des planches brisées, une sorte de récup : faire du beau avec du laid, rechercher toujours l’inverse.
Toute œuvre, tout art n’est-il synthèse, du passé, du présent, du mobile et de l’immobile, du chaud, du froid, de l’Idée ou des idées. Être conceptuel sans l’être, suggérer, réminiscence pour tous, le collectif et pour chacun, l’individu.
Pour mettre au point la Somme des Hypothèses, Vincent Mauger est confronté au calcul mathématique, à la physique des matériaux, la résistance au vent, la masse, le poids, l’attraction terrestre…et dans le domaine philosophique l’attraction universelle, l’Un, mais aussi le souci de l’autre.
Implosion ou explosion, une boule éclatée, déchiquetée, les rayons partent de tous côtés, décorent le ciel, s’enfoncent dans la terre. Au centre, ils forment nœud, tiennent ensemble, liés ou plutôt vissés dans des équerres d’acier.
Car, une sculpture, il faut que ça tienne. L’association de l’ingénieur et du plasticien vise à concilier les contraires : l’attention et l’intention, la solidité et la légèreté, le calcul et le hasard, le Yin et le Yang …
Léa est là. La médiatrice de la Fiac répond à nos questions. Pourquoi la Somme des Hypothèses ? Elle nous dit tout ça. Que Vincent Mauger part d’une idée qui lui est propre, qui surgit de son inconscient, une madeleine, un ruban violet, une odeur, un souffle.
Qu’il a besoin d’aide, des autres pour accomplir sa tache, leurs compétences, leur appétence. Mais son travail n’est pas un concept. Vincent Mauger n’a pas d’ambition intellectuelle. Il est d’abord un plasticien. Il combine des matériaux, utilise des techniques. Il se fait charpentier, ébéniste, utilise des matériaux à recycler. Ici des planches brisées.
En revanche, ce qu’il crée doit toucher tout le monde. Chacun doit pouvoir y voir ce qu’il veut, l’interpréter à sa façon. Aussi, peu importe : est-ce un soleil, un flocon de neige, une rose des sables ou des vents, le virus du Sida…
Je fais une hypothèse : et si c’était Léa ? Mauresk
La somme des hypothèses, sculpture de Vincent Mauger, FIAC 2011, Jardin des Tuileries.
De loin, une tache claire illuminée par le soleil. Derrière, l’arc de triomphe du Carrousel, le Pavillon de Flore, à gauche la Pyramide du Louvre. Du jardin des Tuileries, on dirait le Soleil qui se serait posé par terre.
Un rappel du roi du même nom ? Ou un flocon de neige, une rose des vents ou des sables, un grain de poussière…Géant, le virus du Sida.
Et pourtant, tout ça n’est fait qu’avec des planches brisées, une sorte de récup : faire du beau avec du laid, rechercher toujours l’inverse.
Toute œuvre, tout art n’est-il synthèse, du passé, du présent, du mobile et de l’immobile, du chaud, du froid, de l’Idée ou des idées. Être conceptuel sans l’être, suggérer, réminiscence pour tous, le collectif et pour chacun, l’individu.
Pour mettre au point la Somme des Hypothèses, Vincent Mauger est confronté au calcul mathématique, à la physique des matériaux, la résistance au vent, la masse, le poids, l’attraction terrestre…et dans le domaine philosophique l’attraction universelle, l’Un, mais aussi le souci de l’autre.
Implosion ou explosion, une boule éclatée, déchiquetée, les rayons partent de tous côtés, décorent le ciel, s’enfoncent dans la terre. Au centre, ils forment nœud, tiennent ensemble, liés ou plutôt vissés dans des équerres d’acier.
Car, une sculpture, il faut que ça tienne. L’association de l’ingénieur et du plasticien vise à concilier les contraires : l’attention et l’intention, la solidité et la légèreté, le calcul et le hasard, le Yin et le Yang …
Léa est là. La médiatrice de la Fiac répond à nos questions. Pourquoi la Somme des Hypothèses ? Elle nous dit tout ça. Que Vincent Mauger part d’une idée qui lui est propre, qui surgit de son inconscient, une madeleine, un ruban violet, une odeur, un souffle.
Qu’il a besoin d’aide, des autres pour accomplir sa tache, leurs compétences, leur appétence. Mais son travail n’est pas un concept. Vincent Mauger n’a pas d’ambition intellectuelle. Il est d’abord un plasticien. Il combine des matériaux, utilise des techniques. Il se fait charpentier, ébéniste, utilise des matériaux à recycler. Ici des planches brisées.
En revanche, ce qu’il crée doit toucher tout le monde. Chacun doit pouvoir y voir ce qu’il veut, l’interpréter à sa façon. Aussi, peu importe : est-ce un soleil, un flocon de neige, une rose des sables ou des vents, le virus du Sida…
Je fais une hypothèse : et si c’était Léa ? Mauresk
La somme des hypothèses, sculpture de Vincent Mauger, FIAC 2011, Jardin des Tuileries.
dimanche 9 octobre 2011
Tas beau en tableau
Tas beau en tableau.
Ils descendent les escaliers, rampent, escaladent, roulent, dévalent tout en tas. Ils forment une toile composée d’étoffes multicolores avec des taches claires quelquefois brillantes, le tout mouvant à ras de sol à ras de soi.
C’est un objet nouveau, solide mais aussi vivant. Il respire parfois éructe, éternue, rit, soupire ou gémit. Un ensemble qui se déplace en homothétie comme une chenille ou un animal inconnu dont les têtes multiples, les bras, les jambes, les mains, les pieds sont solidaires et indépendants en même temps.
« Une Chimère ! », diraient certains. Un Phénix, la Bête à Sept Têtes de l’Apocalypse de Jean, l’annonciatrice de quelques maléfices diraient d’autres. Une dénonciation, un acte politique, une foule qui fait le dos rond face à l’absurde de notre pauvre existence…
Une Révolution de l’homme sur lui-même sûrement. Car le Tas est un oxymoron. Il est le résultat de l’exact opposé de ce qu’il représente, c’est-à-dire un Tas. Pour parvenir au Tas, il faut se penser, s’écouter, se parler, se repérer. Il faut Être. Avec l’autre : le sentir, le rencontrer, le toucher.
Porter être porté, peser soupeser, faire corps et savoir se détacher, suivre tout en entraînant, tourner et toujours présenter la face qu’il convient pour que le puzzle puisse se reconstituer. Le Tas peut alors s’élaborer, se construire et telle une roue circuler dans l’Espace et dans le Temps.
« J’ai l’impression qu’un train me roule dessus » me dit un danseur qui était au fond du Tas. Le Tas chuinte, siffle, stridule. « Vous étiez beaux ! » dit un spectateur. Un beau Tas ? Inexorable la locomotive passe et fait retentir son cri strident.
C’est ça le Tas et ça déboule d’un seul coup sans crier gare au coin du trottoir. Nous sommes au « Chat qui Rail », rue Riquet derrière la Gare du Nord : à quand un Tas envahit-il la salle des pas perdus ? Les quais ? La voierie ?
Je vois déjà le Tas glisser Canal St-Martin, envahir la Villette, dire coucou au chef de gare.
Mauresk.
« Le Tas », Collectif Comipok. http://www.facebook.com/event.php?eid=226955834029774
Ils descendent les escaliers, rampent, escaladent, roulent, dévalent tout en tas. Ils forment une toile composée d’étoffes multicolores avec des taches claires quelquefois brillantes, le tout mouvant à ras de sol à ras de soi.
C’est un objet nouveau, solide mais aussi vivant. Il respire parfois éructe, éternue, rit, soupire ou gémit. Un ensemble qui se déplace en homothétie comme une chenille ou un animal inconnu dont les têtes multiples, les bras, les jambes, les mains, les pieds sont solidaires et indépendants en même temps.
« Une Chimère ! », diraient certains. Un Phénix, la Bête à Sept Têtes de l’Apocalypse de Jean, l’annonciatrice de quelques maléfices diraient d’autres. Une dénonciation, un acte politique, une foule qui fait le dos rond face à l’absurde de notre pauvre existence…
Une Révolution de l’homme sur lui-même sûrement. Car le Tas est un oxymoron. Il est le résultat de l’exact opposé de ce qu’il représente, c’est-à-dire un Tas. Pour parvenir au Tas, il faut se penser, s’écouter, se parler, se repérer. Il faut Être. Avec l’autre : le sentir, le rencontrer, le toucher.
Porter être porté, peser soupeser, faire corps et savoir se détacher, suivre tout en entraînant, tourner et toujours présenter la face qu’il convient pour que le puzzle puisse se reconstituer. Le Tas peut alors s’élaborer, se construire et telle une roue circuler dans l’Espace et dans le Temps.
« J’ai l’impression qu’un train me roule dessus » me dit un danseur qui était au fond du Tas. Le Tas chuinte, siffle, stridule. « Vous étiez beaux ! » dit un spectateur. Un beau Tas ? Inexorable la locomotive passe et fait retentir son cri strident.
C’est ça le Tas et ça déboule d’un seul coup sans crier gare au coin du trottoir. Nous sommes au « Chat qui Rail », rue Riquet derrière la Gare du Nord : à quand un Tas envahit-il la salle des pas perdus ? Les quais ? La voierie ?
Je vois déjà le Tas glisser Canal St-Martin, envahir la Villette, dire coucou au chef de gare.
Mauresk.
« Le Tas », Collectif Comipok. http://www.facebook.com/event.php?eid=226955834029774
samedi 1 octobre 2011
Premiers émois
Premiers émois
Premiers émois, Lili Sanchez esquisse, sur toile, peinture lisse et, d’après moi s’essaie derrière la figuration à la fiction.
Un autre temps s’insinue là dans ces baisers, ces désirs assouvis-inassouvis. Accolades, caresses, tendresse mais aussi expressionisme des sentiments.
L’air vibre : tensions.
Fourrer sa langue et sûrement pas loin le sexe. Le visible ne cache-t-il pas l’invisible ou l’invisible ne serait-il pas trop visible ?
La vertu ne cache-t-elle pas le vice ?
Lili fantasmes. C’est toujours avec le sentiment que l’on peint nous dit Chardin, avec la passion nous dit Lili.
Et chacun retient son souffle.
C’est la couleur qui prédomine ici. Avec un changement de palette total. Ses « Gorges » étaient en mai couleur froide, parfois criaient. Aujourd’hui la chaleur domine.
Lili nous prend la main.
Roses, jaunes, orangés, c’est temps d’été. La peau transpire comme l’amour ardent. Et si la torpeur scande la journée, les visages semblent torturés.
Soleil-lampes halogènes.
Peinture de transition, de césure, un essai, une piste nouvelle, un univers de formes teinté d’interrogations.
Dans « Ses Rencontres », Lili Sanchez se cherche.
Mauresk .
Lili Sanchez , journées Portes ouvertes L’attache, Impasse des Capucins, 69001 Lyon, 30 septembre , 1er et 2 octobre.
Lili S. "Ses Rencontres" Espace Paul Ricard, immeuble le César, 20 place Louis Pradel, 69001 Lyon. 8 au 18 novembre.
Premiers émois, Lili Sanchez esquisse, sur toile, peinture lisse et, d’après moi s’essaie derrière la figuration à la fiction.
Un autre temps s’insinue là dans ces baisers, ces désirs assouvis-inassouvis. Accolades, caresses, tendresse mais aussi expressionisme des sentiments.
L’air vibre : tensions.
Fourrer sa langue et sûrement pas loin le sexe. Le visible ne cache-t-il pas l’invisible ou l’invisible ne serait-il pas trop visible ?
La vertu ne cache-t-elle pas le vice ?
Lili fantasmes. C’est toujours avec le sentiment que l’on peint nous dit Chardin, avec la passion nous dit Lili.
Et chacun retient son souffle.
C’est la couleur qui prédomine ici. Avec un changement de palette total. Ses « Gorges » étaient en mai couleur froide, parfois criaient. Aujourd’hui la chaleur domine.
Lili nous prend la main.
Roses, jaunes, orangés, c’est temps d’été. La peau transpire comme l’amour ardent. Et si la torpeur scande la journée, les visages semblent torturés.
Soleil-lampes halogènes.
Peinture de transition, de césure, un essai, une piste nouvelle, un univers de formes teinté d’interrogations.
Dans « Ses Rencontres », Lili Sanchez se cherche.
Mauresk .
Lili Sanchez , journées Portes ouvertes L’attache, Impasse des Capucins, 69001 Lyon, 30 septembre , 1er et 2 octobre.
Lili S. "Ses Rencontres" Espace Paul Ricard, immeuble le César, 20 place Louis Pradel, 69001 Lyon. 8 au 18 novembre.
Premiers émois
Premiers émois
Premiers émois, Lili Sanchez esquisse, sur toile, peinture lisse et, d’après moi s’essaie derrière la figuration à la fiction.
Un autre temps s’insinue là dans ces baisers, ces désirs assouvis-inassouvis. Accolades, caresses, tendresse mais aussi expressionisme des sentiments.
L’air vibre : tensions.
Fourrer sa langue et sûrement pas loin le sexe. Le visible ne cache-t-il pas l’invisible ou l’invisible ne serait-il pas trop visible ?
La vertu ne cache-t-elle pas le vice ?
Lili fantasmes. C’est toujours avec le sentiment que l’on peint nous dit Chardin, avec la passion nous dit Lili.
Et chacun retient son souffle.
C’est la couleur qui prédomine ici. Avec un changement de palette total. Ses « Gorges » étaient en mai couleur froide, parfois criaient. Aujourd’hui la chaleur domine.
Lili nous prend la main.
Roses, jaunes, orangés, c’est temps d’été. La peau transpire comme l’amour ardent. Et si la torpeur scande la journée, les visages semblent torturés.
Le soleil est fait de lampes halogènes ?
Peinture de transition, de césure, un essai, une piste nouvelle, un univers de formes teinté d’interrogations.
Dans « Ses Rencontres », Lili Sanchez se cherche.
Mauresk
Lili Sanchez , journées Portes ouvertes L’attache, Impasse des Capucins, 69001 Lyon, 30 septembre , 1er et 2 octobre.
Lili S. Espace Paul Ricard, immeuble le César, 20 place Louis Pradel, 69001 Lyon. 8 au 18 novembre.
Premiers émois, Lili Sanchez esquisse, sur toile, peinture lisse et, d’après moi s’essaie derrière la figuration à la fiction.
Un autre temps s’insinue là dans ces baisers, ces désirs assouvis-inassouvis. Accolades, caresses, tendresse mais aussi expressionisme des sentiments.
L’air vibre : tensions.
Fourrer sa langue et sûrement pas loin le sexe. Le visible ne cache-t-il pas l’invisible ou l’invisible ne serait-il pas trop visible ?
La vertu ne cache-t-elle pas le vice ?
Lili fantasmes. C’est toujours avec le sentiment que l’on peint nous dit Chardin, avec la passion nous dit Lili.
Et chacun retient son souffle.
C’est la couleur qui prédomine ici. Avec un changement de palette total. Ses « Gorges » étaient en mai couleur froide, parfois criaient. Aujourd’hui la chaleur domine.
Lili nous prend la main.
Roses, jaunes, orangés, c’est temps d’été. La peau transpire comme l’amour ardent. Et si la torpeur scande la journée, les visages semblent torturés.
Le soleil est fait de lampes halogènes ?
Peinture de transition, de césure, un essai, une piste nouvelle, un univers de formes teinté d’interrogations.
Dans « Ses Rencontres », Lili Sanchez se cherche.
Mauresk
Lili Sanchez , journées Portes ouvertes L’attache, Impasse des Capucins, 69001 Lyon, 30 septembre , 1er et 2 octobre.
Lili S. Espace Paul Ricard, immeuble le César, 20 place Louis Pradel, 69001 Lyon. 8 au 18 novembre.
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